Christian Aubry et moi participerons à LeWeb’11 à titre de blogueurs officiels.
Enrichir les conversations et les présences
Nous réaliserons des capsules vidéo à partir des billets des autres blogueurs. Nos pourrons échanger nos perspectives avec ceux-ci ou inviter un autre commentateur à participer à la discussion.
Nous souhaitons également que des spécialistes du Web et à des médias qui ne sont pas présents à LeWeb et qui souhaitent adresser des questions à des blogueurs de leur choix sur des sujets en rapport avec la conférence puissent le faire en direct, via Skype.
Nos vidéos seront déposées sur les blogues des autres blogueurs officiels (d’où le « plugin » ) tout en étant disponibles sur le blogue PluginLeWeb.com.
Invitation spéciale aux entrepreneurs du Québec
À titre de présidente du comité Internet d’Alliance numérique, j’invite les blogueurs et entrepreneurs du Québec qui sont présents à LeWeb à venir nous expliquer ce qu’ils viennent y chercher.
Contactez-nous
Vous pouvez entrer en contact avec nous par le biais du clavardage de la page PluginLeWeb ou en vous adressant à moi sur Twitter (@joplam).
Merci aux organisateurs de LeWeb 2011, et tout spécialement à Stéphanie Booth de nous donner la chance de réaliser cette expérience.
Ce n’est pas encore la fin des nombreux enjeux de gouvernance de projet entre la direction des TI et les directions des autres unités d’affaires qui ralentissent, et quelquefois émoussent la portée stratégique d’un projet. Quand retrouvera-t-on dans toutes les directions et centres décisionnels des entreprises des gestionnaires qui comprennent les technologies qu’ils utilisent et qui sont perméables à la culture Web ?
On parle beaucoup d’entreprise 2.0 et de changement organisationnel, mais le plus grand changement à venir est celui où la technologie est un outil permettant d’atteindre des objectifs d’affaires et non la finalité d’un projet.
Next generation digital enterprises are being driven by a new wave of business managers and individual employees who no longer need technology to be contextualized for them by an IT department.
These people are demanding control over the IT expenditure required to evolve the organization within the confines of their roles and responsibilities.CIOs will see some of their current budget simply reallocated to other areas of the business. In other cases, IT projects will be redefined as business projects with line-of-business managers in control.
Big data : l’enjeu de la valorisation des données
Les organisations produisent et collectent un volume croissant d’information, mais ne sont toujours pas en mesure d’exploiter efficacement et en temps réel ce que l’on considère à présent comme un actif de premier niveau.
Combien d’entreprises exploitent intelligemment leurs données “analytiques web”, issues de leur environnement de mesure en relation avec les données de leurs autres systèmes d’information (ex.: CRM (clients), ERP (ressources) ) ?
Collecting and analyzing the data is not enough — it must be presented in a timely fashion so that decisions are made as a direct consequence that have a material impact on the productivity, profitability or efficiency of the organization. Most organizations are ill prepared to address both the technical and management challenges posed by big data; as a direct result, few will be able to effectively exploit this trend for competitive advantage.
Risques et coûts cachés de la délocalisation
Intéressante perspective pour l’industrie des services de développement informatique, au Canada : des services plutôt attractifs pour le marché états-unien (salaires moins élevés qu’aux États-Unis, proximité physique et culturelle, environnement normatif).
Échange de regards entendus avec ceux qui ont travaillé sur des projets en partie réalisés en sous-traitance avec des programmeurs à l’autre bout de la planète.
By 2014, 20 percent of Asia-sourced finished goods and assemblies consumed in the U.S. will shift to the Americas.
Political, environmental, economic and supply chain risks are causing many companies serving the U.S. market to shift sources of supply from Asia to the Americas, including Latin America, Canada and the U.S.
Escalating oil prices globally and rising wages in many offshore markets, plus the hidden costs associated with offshore outsourcing, erode the cost savings that didn’t account for critical supply chain factors, such as inventory carrying costs, lead times, demand variability and product quality.
Les TI ne sont qu’un outil… qu’il faut avoir utiliser
« Control slips away » : le sous-titre du rapport de Gartner communique l’importance des enjeux liés à l’apprentissage et à l’usage des technologies de l’information pour la conduite de projets, l’adaptation de modèles d’affaires et, surtout, pour dans le contexte d’une économie numérique.
En retournant au Bookcamp Montréal cette année, je me demande si nous (participants) saurons porter plus loin notre exploration des possibles avenues pour la transformation du secteur du livre. Malgré l’inégalités des prestations (normal, dans un camp), j’avais beaucoup apprécié la plupart des échanges de l’édition précédente, notamment ceux autour de l’intevention volontairement provocante de Karl Dubost (voir ci-après).
Retour sur le Bookcamp 2010
Pour ceux qui souhaitent reprendre la conversation sur certains points chauds, voici le billet de Karl Dubost: Aujourd’hui, on enterre le livre. C’est une perspective que les acteurs du livre ne partagent pas tous, cependant, il y a des questions qui sont des coups de sonde pour les fondations du système. Karl rapporte également dans son billet les principaux sujets de discussion du Bookcamp de 2010.
Mes avenues de recherche (ou de discussion) pour le Bookcamp 2011:
Quels changements ?
Internet change irrémédiablement les modèles économiques, les contenus et les usages. Un changement qui devrait ébranler tous les secteurs d’activité humaine et économique.
Quels sont les éléments de la chaîne du livre et les usages (créateurs et consommateurs de contenus) qui changent réellement ?
Doit-on protéger une industrie (et les conventions et privilèges ou favoriser un environnement propice à la création ?
Consomm-acteurs de contenus
La plupart des jeunes de la prochaine génération auront probablement grandi les deux pouces sur les manettes de jeu, les yeux passant d’un flux de messagerie instantanée à une vidéo sur le Web et les oreilles remplies d’un fond musical issu de fichiers mp3.
Que signifiera écrire un livre pour la plupart des créateurs de cette génération ?
Comment créeront-ils des récits, des guides d’apprentissage, des oeuvres d’art avec les mots ?
Comment hausser le niveau des échanges ?
J’ai trouvé beaucoup de connexions concernant nos rapports ambivalents à l’ère dans laquelle nous vivons dans les capsules vidéo de la série L’édifice sur la culture contemporaine. L’intro musicale est un peu longuette et on apprécierait entendre les interventions de Vincent Olivier, mais c’est une de rares séries qui m’a accroché.
Lors de la présentation du budget du Québec, en mars dernier, le Ministre des Finances, Monsieur Raymond Bachand, a annoncé des mesures pour « poursuivre le virage numérique ».
Nombre de publications américaines encouragent les entreprises qui font du commerce électronique à mieux cibler le marché canadien. Pendant ce temps, au Québec, nous investissons dans la numérisation de contenu et dans les infrastructures, mais pas dans l’appropriation des technologies et la connaissance des usages numériques. Notre commerce électronique et notre économie numérique sont en retard. À quand un programme pour le transfert de l’expertise numérique vers nos gestionnaires d’entreprises ?
/../ trop peu de PME québécoises disposent d’un site Web transactionnel. Bien qu’un meilleur réseau, plus rapide, constitue un outil pouvant favoriser le développement du commerce électronique, nous croyons à la nécessité d’autres mesures originales et structurantes pour soutenir l’usage stratégique des TIC.
Élément révélateur rapporté par Direction Informatique : absence du mot « informatique » dans l’allocution du ministre. Est-ce l’amorce du passage d’une vision essentiellement technologique à une culture numérique issue d’un métissage de champs de pratiques (technologies, sciences humaines, arts visuels, administration des affaires, etc.)
Cet article de @FabienDeglise, du journal Le Devoir, nous rappelle que lorsque nous sommes sur les réseaux sociaux, nous entrons dans une logique marchande. Cependant, un élément, au début de l’article, a retenu mon attention.
Après s’être immiscés dans le quotidien de millions d’internautes à travers le monde sans rien demander en échange, les réseaux sociaux cherchent désormais à monétiser l’incroyable dépendance qu’ils ont créée.
Un marché de dupe ?
Les utilisateurs des réseaux sociaux paient leur accès avec leurs informations personnelles. Il faut comprendre cela pour saisir l’importance du changement induit par la révolution numérique sur les modèles économiques. Les géants de l’Internet, Google, Facebook et cie, l’ont compris.
Dans la logique commerciale du Web, les données personnelles (incluant le suivi de nos activités) sont d’une très grande valeur. Nous en cédons l’usage à des entreprises, bien souvent de façon insouciante.
Alors que le Web devrait permettre aux individus et aux collectivités de jouer un rôle de premier plan dans les nouveaux modèles socio-économiques, n’aurions-nous encore qu’un rôle de consommateur ?
Internet n’existerait pas s’il avait fallu un plan d’affaires pour le développer, a écrit Hal Varian, économiste et chercheur bien connu du domaine des TIC.
Des chercheurs et théoriciens des sciences humaines et sociales et des technologies ont répondu à 10 questions à propos d’Internet. J’ai retenu le texte du prof Varian que m’ont fait découvrir mes études en bibliothéconomie et science de l’information.
Il faut lire ce texte pour connaître l’histoire d’un changement qui se manifeste dans nos industries et nos usages et pour en tirer des leçons.
À la question « Has the Internet Fundamentally Changed Economics? » Varian répond par l’affirmative dans un court essai intitulé : « Computer-Mediated Transactions ». Il y décrit les quatre types d’innovations qui ont changé (ou à tout le moins, accéléré) la façon de gérer des entreprises et de faire des affaires. Il rappelle que, tout comme Internet, le Web n’a pas été conçu par une entreprise, mais est advenu grâce à la communauté des chercheurs.
Comme le moteur à essence, Internet est une innovation capitale, mais elle se distingue de toutes les avancées technologiques précédentes. Une technologie des communications, l’Internet a permis le développement d’applications, en concurrence et n’importe où dans le monde. Ces innovations parallèles accélèrent la fréquence des changements technologiques et favorisent les ruptures, ces changements dont les effets sont étendus et irréversibles.
En guise d’appât, voici un passage sur l’histoire de la publicité en ligne qui démontre comment cohabitent les intérêts divergents des éditeurs de sites et des annonceurs:
The publisher (i.e. the content provider) has space on its Web page for an ad and wants to sell ad impressions to the highest bidders. The advertiser does not care directly about ad impressions, but does care about visitors to its website, and ultimately, the sale of its products. Hence, the publisher wants to sell impressions, but the advertiser wants to buy clicks.
Mardi le 7 décembre 2010, au cours de la cérémonie de clôture, la présidente du Conseil du Trésor et ministre responsable de l’Administration gouvernementale, Michelle Courchesne, devrait dévoiler la politique gouvernementale sur le logiciel libre tant souhaitée par les individus et entreprises qui en font la promotion.
Nous verrons demain si les mesures attendues, notamment celles qui concernent l’encadrement des appels d’offres gouvernementaux, seront à la hauteur des attentes.
Grrr ! Pas de wifi gratuit et interdiction de photographier (défiée) pendant les présentations.
Il s’est écoulé près de 2 ans, avant le jugement de juin 2010 qui a donné raison à Savoir Faire Linux envers la Régie des rentes du Québec qui avait accordé, sans appel d’offres, un contrat de renouvellement de licences à Microsoft. Ce jugement n’a pas empêché, il y a quelques semaines, une autre agence gouvernementale d’adopter des normes accordant pratiquement l’exclusivité à Microsoft.
Près de 700 participants se sont déplacés malgré les 20 centimètres de neige annoncés aujourd’hui.
Saint iGNUtius priez pour notre libération
Conférence-fleuve de Richard Stallman (@rmstallman, alias RMS) sur le mouvement pour le logiciel libre, le système d’exploitation GNU/Linux et la liberté.
Une prestation qui s’est finalement déroulée sans que nous ayons senti le temps passer. Fondateur de la Free Software Foundation et de GNU/Linux, M. Stallman a une apparence baba cool et parle un français émaillé d’amusantes traductions comme programmes «privateur» (propriétaire). Geek-hippie, cet évangéliste du libre annonce ses couleurs et tient un discours qui agace (ou fait tranquillement rigoler) les tenants de choix technologiques, disons, «commerciaux». Discours pour discours, je préfère celui qui prône la solution des enjeux éthiques avant de s’attaquer aux enjeux pratiques.
Mise à jour (10 décembre 2010)
Vidéo de la conférence de Richard Stallman. Salon des logiciels libres du Québec, 6 décembre 2010.
Retour sur mes notes prises lors du BookCamp Montréal, 26 novembre 2010 au Salon b Bibliocafé.
Cette première édition semble déjà un succès : la salle est pleine et l’assistance est diversifiée (secteurs d’activité, groupes d’âge).
Pour suivre le fil des commentaires sur Twitter: #bcmtl.
Oser
Il semble qu’il soit difficile de sortir du modèle du livre imprimé (et même du support papier). Quelques exemples:
Utiliser l’iPad pour faire vendre plus de copies papier.
Utiliser une application pour produire une version numérique d’un document papier.
Créer une application pour tablette qui imite le livre.
Évidemment, rien n’oblige un éditeur ou un auteur à délaisser le livre pour se jeter sur les pixels. Mais si on tente l’expérience du numérique, pourquoi ne pas s’en servir pour aller au delà des limites de l’imprimé et explorer les possibilités du nouveau médium ?
Comment accroître son potentiel d’innovation et trouver des solutions à ses problèmes quand on se cantonne à ce qu’on connait ?
Quand les frontières entre les pratiques deviennent floues
La dématérialisation de l’objet «livre» et l’élargissement des horizons du monde de l’édition dans l’espace numérique effraient. C’est une réaction naturelle; ces changements questionnent la pertinence des métiers et des façons de faire. L’antidote à l’incertitude est l’acquisition de connaissances pour se fixer de nouveaux repères (et pas nécessairement pour changer radicalement sa pratique).
Qu’est ce qu’un livre ?
J’ai perçu l’inconfort de plusieurs intervenants face aux définitions mêmes des objets qui sont remises en question. Un livre interactif est-il un livre ou un jeu ? Ou ne serait-ce pas plutôt une application ? On peut s’interroger sur ce qui motive cette volonté de marquer les frontières entre les manifestations créatives.
Notre définition de l’objet limite-t-elle notre capacité d’innovation ? C’est une question que pose Mitch Joel dans un billet tout juste publié : When The Definitions Are Wrong.
Analphabétisme numérique
Beaucoup d’acteurs de monde de l’édition (dont beaucoup d’éditeurs) ne sont pas encore familiers avec les nouvelles technologies. Comment parler des enjeux de distribution numérique quand on ne sait pas faire la différence entre un fichier et une page web ? Comment interpréter les changements, identifier les menaces, oui, mais surtout les opportunités d’innovation ?
Des paroles qui dérangent (pour notre bien)
Karl Dubost (@karlpro), qui contribue activement à l’exploration des possibilités du web a bien tenu le rôle de catalyseur (ou «brasseur de cage») qu’il avait déjà joué, face à un auditoire en partie ravi et en partie sur la défensive, aux rencontres de l’Espace Infusion, lors du Festival du nouveau cinéma.
On pourra longuement réfléchir sur ce constat: « La technologie modifie les comportements, le marché et donc la culture. L’infrastructure n’est pas neutre.»
Les artistes sont ceux qui ont le moins à craindre des changements du numérique, contrairement aux éditeurs, distributeurs qui sont menacés par de nouveaux intermédiaires comme iTunes et qui devront nécessairement se réinventer. Cependant, où les créateurs peuvent-ils acquérir les connaissances requises pour profiter des avantages du numérique ? Les organisations associatives ne devraient-elles pas prendre rapidement l’initiative et offrir à leurs membre une formation aux outils et pratiques des nouvelles technologies ?
Où sont les bibliothécaires ?
Malgré une assistance diversifiée, nous n’avons pas entendu de bibliothécaires, exception faite d’Olivier Charbonneau qui s’en est tenu à la dimension juridique (voir plus bas). Les bibliothèques constituent des points d’accès publics et gratuits à l’information. Cette profession a pourtant un rôle actif à jouer dans l’écosystème de l’édition, tant par son expertise spécifique que sa position privilégiée d’intermédiaire entre les utilisateurs/lecteurs et l’offre.
Où sont les sociétés de gestion collective ?
Il a beaucoup été question de propriété intellectuelle, il aurait été intéressant d’entendre les commentaires de représentants des sociétés de gestion collective de droits d’auteur.
Protéger la création et encourager la diffusion
À lire et à méditer par tous les intervenants concernés par la diffusion et la distribution de contenus culturels à l’ère numérique, et plus spécialement, les sociétés de gestion collective de droits d’auteur. Selon Olivier Charbonneau (@culturelibre), il est plus payant, pour les éditeurs, de vendre un droit d’accès unique; c’est une économie de bien privé. Le numérique nous offre une économie de bien public.
Un grand absent: celui/celle qui fait sonner la caisse
Acteur central et élément clé du modèle économique, le consommateur était absent des présentations. Le numérique a-t-il changé nos usages et notre consommation de contenus culturels ? Si oui, comment ces changements se traduisent-ils ?
Culture, médias et divertissement: des enjeux communs
L’édition, la musique, les journaux et magazines, le cinéma: toutes les industries culturelles, même le jeu vidéo (voir le billet sur les conférences du Sommet international du jeu de Montréal) ont des enjeux communs et des expérimentations à partager. Internet change irréversiblement la façon dont nous créons, produisons, promouvons et consommons des produits culturels. Pour s’adapter (ou survivre) aux bouleversements, les entreprises et créateurs doivent accroître leur capacité d’innovation. C’est possible, avec des rencontres du même type que celles de vendredi dernier qui favorisent les échanges entre spécialistes, industries et initiés et non-initiés.
Le 16 octobre 2010, CommunauTique, un collectif qui soutien la participation citoyenne et l’appropriation des TIC, lance un nouvel appel au gouvernement du Québec pour un plan numérique. Une prise de position bien documentée.
Depuis longtemps, des spécialistes du web réclament un plan pour que le Québec (citoyens, éducation, industrie, gouvernements) se mette enfin à l’heure numérique et qu’on ne s’en remette pas au marché, la solution miracle.
Prenant la balle au bond, Martin Lessard a aussitôt appuyé le mouvement en relayant l’appel et en y ajoutant son commentaire.
Luc Gendron propose l’organisation d’un Focus20 – Spécial plan numérique (similaire, au Yulbiz, les rencontres Focus20 réunissent les passionnés du web des régions du centre du Québec, et même de Montréal).
Le mouvement repart à nouveau. La lettre ouverte au premier ministre du Québec, rédigée par Patricia Tessier et publiée lors du Yulbiz du 28 octobre 2008, était restée sans effet.
Retard numérique : isolation
Des experts rassemblés par le CEFRIO se sont prononcés, en juin dernier, pour l’adoption d’un plan numérique au Québec. Plusieurs pays en ont déjà un; voici les principales préoccupations qui y sont abordées:
Accessibilité aux technologies numériques (notamment, la bande passante).
Formation pour accroître et améliorer l’usage des TIC.
Nouveaux services essentiels pour le développement collectif (comme les nouvelles technologies et l’éducation).
Enjeux de gouvernance comme la protection des renseignements personnels, le logiciel libre et l’accès aux données publiques.
Cette prise de position, ainsi que de nombreux liens pertinents, ont été publiés sur le blogue du CEFRIO : Pour un Québec numérique… et performant. À la suite de l’assemblée annuelle du CEFRIO, Le Devoir avait publié des entrevues à ce sujet dont celle de Benoît Aubert (Le train numérique passe, le Québec reste à quai) qui affirmait que le retard numérique risque d’isoler le Québec.
Amplifié par les réseaux sociaux, plus populaires et plus intégrés aux canaux de communications traditionnels qu’il y a deux ans, le mouvement atteindra-t-il sa cible ?