Les marques qui investissent de plus en plus de leur budget marketing sur les réseaux sociaux sont-elles devenues plus sociales ? La dimension sociale du marketing, autre que la simple fonctionnalité du “like”, échappe encore aux stratèges du marketing.
Relation = émotion : le maillon faible du marketing social
Sur le blogue de la Harvard Business Review, un billet qui contient des pistes de réflexion pour ceux qui s’intéressent à la dimension réellement sociale (patterns d’interactions) du commerce qu’il soit numérique ou brique-et-mortier.
Relationships aren’t rational, but emotional. They certainly aren’t predictable. (Try applying the marketing funnel to your love life and see how it goes. If you date 20 people, in 2.5 years will you end up with 0.7 kids?) In fact, marketing in the social era does start to look a lot like falling in love, following an arc of romance, struggle, stability, and commitment. As anyone who’s ever been in love can attest, it’s not a linear path.
Le modèle d’information du marketing traditionnel (linéaire, unidirectionnel et centré sur un objectif transactionnel) ne correspond pas au modèle social.
Nos rapports sociaux, nos choix et nos réactions sont empreints d’émotions (plus ou moins exprimées). Une dimension peu explorée, et pourtant essentielle, du marketing social. Une dimension qui échappe (encore) aux algorithmes des moteurs de recherche.
Je suis contente que de plus en plus de blogueurs parlent de l’importance des relations et du manque de répères qu’il y a dans le domaine.
Le problème principal selon moi est que les relations en ligne sont collboratives, participatives et basées sur l’empowerment. Donc pour les modéliser il faut bien comprendre ces principes et comment ils se transposent en ligne. Ma thèse de recherche de maîtrise traitait de l’empowerment & pratiques participatives. J’ai fondé depuis peu ma compagnie qui justement modèlise et analyse les relations & communications en ligne. Merci de promouvoir l’importance de la dimension relationnelle en ligne!