The Content Economy by Oscar Berg: The business case for social intranets
Ce billet d’Oscar Berg fait la démonstration de la pertinence (et même, de la nécessité) des intranets sociaux auprès des entreprises qui font un usage intensif de leur capital intellectuel.
Les coûts de production et de gestion de l’information, dans un intranet traditionnel, forcent les gestionnaires à prioriser les besoins informationnels de l’entreprise. Ceci réduit considérablement la sérendipité des rencontres informationnelles qui constitue un terreau fertile pour l’innovation.
En faisant littéralement fondre le coût des communications, la technologie et les nouveaux usages du web ont ouvert à tous la production de contenu. Nous sommes passés de consommateurs à « prosumers » (à la fois producteurs et consommateurs d’information).
De plus, les réseaux sociaux ont propulsé les communauté d’intérêt et favorisé l’infiltration de la culture web (participation spontanée et non hiérarchique) en entreprise.
Le problème n’est pas la surabondance d’information, c’est la satisfaction de la demande
La surabondance d’information n’est pas le problème qu’il faut solutionner. L’abondance, à la différente de la rareté, permet d’assurer une plus grande disponibilité et plus de diversité. Le problème, c’est de répondre à la demande d’information; de satisfaire la longue traîne des besoins informationnels. Il faut donc améliorer les filtres (mécaniques ou sociaux) pour repérer, qualifier, commenter, remixer l’information.
/…/ we need to focus more on creating filters to handle the abundance of information than trying to stop the inflow of information. We need to stop seeing information supply as a problem to be solved (by trying to delimit it) and instead focus on how to satisfy information demand.
Je suis d’accord, la surabondance d’info doit être gérée au mieux.