Nina Simon, conceptrice d’expositions pour les musées, a identifié, pour chaque type d’institution, les opportunités et défis que présentent les projets participatifs (où les visiteurs contribuent à la production de contenus) pour leur organisation.
Pourrait-on appliquer cette démarche à l’entreprise 2.0 en regard des différents types de cultures organisationnelle ? Il serait alors intéressant d’identifier, pour chaque culture d’entreprise, les opportunités et défis à l’adoption de pratiques collaboratives.
Son commentaire sur la taille des organisations s’applique aux entreprises:
Petites organisations: plus ouvertes…
Small museums are more likely to be community-oriented and to be comfortable incorporating visitor-generated content without feeling that it disrupts the overall design of the institution.
…mais disposant de peu de moyens.
However, small museums are also less likely to have staff support to maintain and sustain participatory projects over time.
Grandes organisations: plus bureaucratiques…
While large museums are often beleagured by endless committee meetings that can hinder the potential for creative new projects,
…mais avantagées par leurs infrastructures et leurs ressources
when all the dotted lines are signed, the projects tend to affect more visitors than those of small museums, and may be better funded over time.
Le contrôle reste un facteur déterminant:
Frankly, I think small museums win out on this one–ultimately, they are less focused on authoritative image than large museums and more likely to enthusiastically embrace community involvement.
Quel est le type de culture qui prévaut dans votre entreprise ? Celle de l’entrepreneur, des technocrates, de la start up, des bureaucrates ? La relation au pouvoir en dira long sur les défis de l’implantation d’une plateforme participative.