Pour faire suite aux enjeux auxquels doivent faire face les participants de l’industrie du livre, un article assez récent du blogue de Francis Pisani.
La moitié des romans les plus vendus au Japon ont été écrits sur des téléphones portables (moyenne de 400 000 exemplaires vendus). Ces romans s’adressent à un public adolescent et sont publiés par épisodes. Les auteurs font appel aux commentaires des lecteurs; ceux-ci les achètent parce qu’ils considèrent y avoir participé.
Comment le monde de l’édition peut-il intégrer cette nouvelle réalité ? Comment la chaîne documentaire traite-t-elle ces produits ?